· Västerås, extrait dans (H)apax en ligne, Revue des littératures expérimentales, Reims, hiver 2009 (http://www.hapax-magazine.fr/).
· Västerås , extrait dans Tacles et Coups francs, Anthologie de la jeune poésie de langue française, Eds. La Rivière échappée, Cahiers Babel heureuse, été 2009.
· Västerås , extrait dans (H)apax, Revue des littératures expérimentales, Reims, été 2008.
· « mais vous persistez d’épine », Västerås extrait dans Triages (arts et littérature), Vingt-trois poètes et Reverdy vivants, textes réunis et présentés par Antoine Emaz, Tarabuste, printemps 2008, pp. 99-117.
· Västerås , extrait dans Gare maritime, Revue écrite & sonore de poésie contemporaine, Anthologie 2008 de la Maison de la Poésie de Nantes, printemps 2008 (+ cd lecture), pp. 20-22.
· « avant les apparitions », Västerås extrait, site-web de l’Académie des Lettres du Québec, 2007
· pas d’entretiens à afficher pour ce livre
· Västerås, par Martine Renouprez à l’Université de Cadiz, Espagne, 2017
· Västerås, par Antoine Emaz, Cahiers Critiques de Poésie, Centre International de Poésie Marseille, 2014, p. 103.
· Västerås, par Katelijne De Vuyst, « Reis naar Västerås », suivie d’une traduction de 7 poèmes par Bart Vonck et Katelijne De Vuyst,Poëziekrant, octobre 2014 (en néerlandais), p. 66-71
· Västerås, par Jan Baetens, sur Le Cormier, 2013
· Västerås par Jan Baetens, dans Les Impressions Nouvelles, juillet 2013.
· Västerås, « Un naufrage » par Vincent Tholomé, dans Le Carnet & les Instants, avril-mai 2013, p. 92.
Sélection de Västerås, traduits vers le néerlandais par Katelijne de Vuyst et Bart Vonck, Poëziekrant, octobre 2014, pp. 68-71.
Sélection de Västerås, traduits vers le néerlandais par le collectif de traduction français-néerlandais de Passa Porta, Maison Internationale de Littérature, Bruxelles, saison 2013-2014.
À la fois portrait et récit, ce livre est tout d’abord le journal poétique d’un séjour à Västerås, ville près de Stockholm. Je m’y suis rendue en 2006 pour m’imprégner des paysages du Sacrifice, le dernier film d’Andreï Tarkovski. Västerås est l’espace-temps non maîtrisable où s’esquisse au fil des heures la rencontre insaisissable avec la voix et le corps du cinéaste, éparpillés à travers les champs, rivés aux lacs et résolus dans les nuages. A la façon d’un séismographe, l’écriture enregistre le champ magnétique de cette expérience qui transforme dès l’arrivée en Suède mes capacités de perception cognitive et sensorielle.
Or, Västerås est aussi le temps d’un bilan de ma quarantaine, un temps qui se retourne sur 20 ans de vie d’adulte. Retour au goût suspect d’une émancipation devenue impraticable par un temps de mauvaise conjoncture. L’écriture y évalue le tracé, l’état et la valeur des éléments qui ont déterminé ma vie : la poésie, l’amour, le travail, les amitiés, la féminité. Västerås est le livre-extraction d’un âge qui plonge dans la durée tout comme dans l’instantané d’une vie, à travers l’aventure du journal et de la phrase poétique.